Biologie synthétique

Santé

Biologie synthétique

Les nanotechnologies au service des biotechnologies

Dans le domaine des biotechnologies, les nanoparticules sont surtout utilisées comme vecteurs. Elles ont pour mission de permettre à de grosses molécules de pénétrer dans les cellules où les modifications génétiques doivent être faites. Développé récemment, ce domaine répond aux même logiques économiques que celui des autres biotechnologies : recherche publique pour les notions fondamentales, création de startups et brevets pour la privatisation du développement commercial. Exemple d’un acteur du domaine.

Biologie synthétique

ROG #14 – Biologie de synthèse

La 14ème émission dans la série Raconte-moi autrement les OGM avec Annick Bossu, présidente d’Inf’OGM.

Dans la continuité des émissions précédentes sur l’artificialisation du vivant, ici il s’agit de la biologie de synthèse, phénomène peu connu que l’équipe d’Inf’OGM a étudié, son ampleur, son aspect multiforme, la question de ses limites et le flou de ses définitions.

Journal

Économie

Biologie synthétique

Brevets sur les semences : les grandes manœuvres de l’industrie

Biologie synthétique

Belgique : des vers transgéniques au comportement modifié

En octobre 2023, un consortium public/privé, sous la responsabilité de l’université de Namur (Belgique), inaugurait le projet européen BABots (en anglais : Biological Animal roBots). Le premier Babot actuellement en cours de construction par ce consortium est un nématode génétiquement modifié censé être piloté comme un robot. Pourtant, ces vers ne sont pas réellement pilotés et sont, en fait, loin d’être des robots. Ce projet s’inscrit dans la logique de la convergence des technologies connues sous le nom de BANG (pour Bit, Atome, Neurone et Gène).

Biologie synthétique

Biologie de synthèse, des discussions qui impliquent les OGM

Depuis une quinzaine d’années, des États discutent « biologie de synthèse » à l’international. Si, à ce jour, une définition « opérationnelle » existe, les contours de ce domaine restent difficiles à cerner. Parler de biologie de synthèse relève-t-il d’un simple changement de sémantique ou d’une réelle nouvelle frontière du domaine des biotechnologies ? Pour l’instant, des exemples d’organismes ou molécules obtenus par biologie de synthèse s’accumulent : protéines non naturelles, plantes OGM, bactéries OGM, virus recréés, modification du vivant directement dans l’environnement, insectes OGM, xénobactéries…

Environnement

Analyse / Détection

Une consultation publique en cours sur les micro-organismes OGM

L’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) consulte jusqu’au 8 avril les citoyens européens. Le sujet ? L’évaluation des risques liés à l’utilisation de micro-organismes génétiquement modifiés (MGM). Le travail est d’importance, car il ne s’agit pas des seules utilisations en milieu confiné. Les MGM concernés pourront être des bactéries, levures ou virus génétiquement modifiés et disséminés tels quels dans l’environnement ! A souligner : seuls les anglophones pourront participer, la consultation n’étant disponible qu’en anglais.

Journal

Économie

Biologie synthétique

Les ressources génétiques et la bioéconomie

Biologie synthétique

Organes et tissus bio-imprimés : quelles protections ?

Biologie synthétique

Organes et tissus bio-imprimés : où en est-on ?

Journal

Biologie synthétique

Les gouvernements obligés par la transparence internationale

Journal

Biologie synthétique

Biologie de synthèse : les instances internationales avancent dans le flou

Journal

Agronomie

Biologie synthétique

Biologie de synthèse : des impacts sur les écosystèmes et la paysannerie