Santé
Gouvernance de la recherche
Covid19
Origine de la Covid-19 : la fuite de laboratoire est la plus probable (partie 2)
Après avoir décrit les principales questions et les principaux acteurs (partie 1), nous allons pouvoir retracer la préhistoire de la Covid-19, puis son histoire, qui est, elle, plus médiatique.
Santé
Gouvernance de la recherche
Covid19
Origine de la Covid-19 : la fuite de laboratoire est la plus probable (partie 1)
Une épidémie de Covid19 (acronyme de l’anglais « coronavirus disease 2019 ») a été officiellement déclarée en janvier 2020 dans la ville de Wuhan, puis s’est rapidement transformée en une pandémie propagée dans le monde entier. La diffusion très rapide du virus SARS-CoV-2 (ou SRAS-Cov2 pour « Syndrome respiratoire aigu sévère »), responsable de cette pandémie, a conduit à imposer des confinements à tous, indépendamment des classes d’âge ou de sensibilités observées à la maladie. Elle a bouleversé les vies de milliards de personnes. Mais d’où vient le virus ? Le présent article, publié en trois volets, vise à décrire ce qui est su de l’origine de ce virus et en quoi cela peut nous intéresser, nous, ici et maintenant. Tous les acteurs impliqués dans cette histoire de pandémie cachent sans doute une partie de la vérité.
Dans la première partie, nous expliquons la question et pourquoi elle peut nous intéresser, même après la fin de la pandémie, et décrivons ses principaux acteurs. En seconde partie, nous reprendrons l’histoire de cette pandémie. En troisième partie, nous donnerons les opinions de différentes institutions sur son origine.
Veille citoyenne
Pause d’été : à très vite sur les ondes et aux Résistantes !
Pendant la pause estivale du mois d’août, Inf’OGM fonctionnera au ralenti, pour une reprise des publications le 1er septembre. En attendant, retrouvez-nous aux Résistantes et bientôt sur les ondes !
Lobby / conflit d’intérêt
Le lobby scientifique s’invite dans le trilogue sur la déréglementation des OGM/NTG
Alors que l’Union européenne tente de faire avancer son trilogue sur la déréglementation des OGM végétaux issus de nouvelles techniques (NTG), l’Association française des biotechnologies végétales (AFBV) et son homologue allemand (WGG) montent au créneau. Dans une note commune, elles relèvent les désaccords entre le Parlement européen et le Conseil, tout en plaidant, au nom d’arguments présentés comme « scientifiques », pour une déréglementation de ces OGM, au bénéfice du secteur biotech.
Lobby / conflit d’intérêt
Des cultures illégales de soja OGM en Tunisie révélées par des tests ADN
Présentée comme une réponse à la crise fourragère, une nouvelle culture s’installe discrètement dans les champs tunisiens. Derrière le soja, des semences génétiquement modifiées sont introduites sans encadrement, dans un silence institutionnel total.
Autorisation
« Seuls » trois OGM/NTG sont cultivés
Au premier abord, le constat peut étonner. Seuls trois OGM obtenus par de nouvelles techniques génétiques seraient cultivés pour commercialiser leur récolte dans le monde. Les nombreuses promesses de leurs bienfaits pour la santé, l’environnement, la « compétitivité » ou encore l’argument d’un statut déréglementé déjà opérant dans de nombreux pays du monde laisseraient pourtant penser que ces produits « miracles » auraient été plus largement adoptés. Manifestement, tel n’est pas le cas.
Environnement
Ethique
La stratégie « sciences de la vie » de l’UE, une stratégie pro-industrie
Sous couvert de faire du continent un leader mondial des « sciences de la vie », la Commission européenne confirme sa vision clairement pro-industrie dans sa stratégie publiée début juillet. Dans une approche résolument axée sur la compétitivité, elle minimise les conséquences possibles sur les autres acteurs sociaux.
Généralité
Comment les multinationales semencières tentent d’imposer à nouveau les OGM ?
Depuis plusieurs années, des multinationales, gouvernements et syndicats demandent la déréglementation des OGM issus des nouvelles techniques de modification génétique (NTG). Ces voix ont été entendues aux États-Unis, Canada, Argentine, Japon et Royaume-Uni.
Analyse / Détection
2024, encore une année contaminée par des OGM illégaux
En 2024, l’Union européenne a de nouveau enregistré des alertes de contamination par des OGM. Au nombre de 24, ces alertes concernent en grande majorité du riz GM non autorisé, mais également de la papaye, du soja, du lin et du maïs. Deux cas de contaminations par des micro-organismes génétiquement modifiés ont également fait l’objet d’alerte, l’un ayant même obligé les autorités belges à produire un communiqué public pour rappel d’un produit. Dans trois cas, la nature de l’OGM illégal n’est pas fournie.

