Nouvelle technique de mutation génétique
Des chercheurs de l’Université John Hopkings ont mis au point une nouvelle technique qui consiste à isoler un gène impliqué dans la réparation de l’ADN, mais défectueux et donc cancérigène. L’insertion de ce gène dans un génome aura pour conséquence de déstabiliser l’expression de l’ADN de l’organisme hôte et donc conduire à la génération d’organismes mutants, dont très peu seront viables. Suite à cette annonce, de nombreux scientifiques se sont déclarés choqués par ce procédé.