Au premier abord, le constat peut étonner. Seuls trois OGM obtenus par de nouvelles techniques génétiques seraient cultivés pour commercialiser leur récolte dans le monde. Les nombreuses promesses de leurs bienfaits pour la santé, l’environnement, la « compétitivité » ou encore l’argument d’un statut déréglementé déjà opérant dans de nombreux pays du monde laisseraient pourtant penser que ces produits « miracles » auraient été plus largement adoptés. Manifestement, tel n’est pas le cas.