
Brevets
Brevets sur le vivant : la Chine plus « éthique » que les États-Unis ?
Selon une étude académique parue en avril 2024, les systèmes brevets chinois et étasuniens aborderaient différemment la brevetabilité du vivant en raison de leur spécificités culturelles, leurs valeurs et leurs objectifs économiques. Plus « éthique » au premier abord, le système brevets du géant asiatique ne tourne néanmoins pas le dos aux intérêts économiques et aux progrès scientifiques.

Biopiraterie
Interconnexions entre les nouvelles biotechnologies et les DSI ou GSD
Quels liens entre nouvelles techniques de modification génétique, numérisation des informations de séquences génétiques et brevets ? Inf’OGM publie ici l’analyse présentée en juin 2024 lors d’un atelier régional organisé par le Centre Africain pour la Biodiversité, à Durban (Afrique du Sud). Elle a été rédigée par Guy Kastler, représentant de l’organisation paysanne internationale La Via Campesina dans diverses réunions du Tirpaa et de la CDB.

Biopiraterie
Les accords de partage des avantages écorchés par la vérité du terrain
Depuis 1992, l’accès à la biodiversité est encadré par la Convention sur la diversité biologique signée à Rio (Brésil). Elle consacre la souveraineté des États sur leurs ressources. Afin de lutter contre toute biopiraterie, un régime de demande d’accès à cette biodiversité et surtout de partage des avantages a été instauré. Quel est l’efficacité de ce système ? Les avantages sont-ils partagés ? Ou s’agissait-il dès le départ d’un marché de dupes ?

Journal
Droit
Biopiraterie
Brevets sur le vivant : une appropriation grandissante

Journal
Brevets
Les droits de propriété intellectuelle sur le vivant contraints d’évoluer

Journal
Analyse / Détection
Brevet et évolution du COV

Journal
Biopiraterie
DSI : la biopiraterie dématérialisée

Économie
Biopiraterie
Bref aperçu sur l’ouvrage « Comment éviter la prochaine pandémie », de Bill Gates
Dans un livre publié en 2022, Bill Gates déroule sa vision de la lutte contre les futures pandémies. Une vision qui repose sur une stratégie associant techniques de modification génétique, numérisation informatique, avals politiques et subventions privées, puis publiques, à outrance. L’artificialisation et l’appropriation du vivant au cœur d’un projet à l’échelle globale promu comme « humanitaire »… Dans cette note de lecture, Robert Ali Brac de la Perrière nous permet de mieux comprendre la vision portée par un des acteurs les plus influents des politiques internationales de santé.

Biologie synthétique
Biologie de synthèse, des discussions qui impliquent les OGM
Depuis une quinzaine d’années, des États discutent « biologie de synthèse » à l’international. Si, à ce jour, une définition « opérationnelle » existe, les contours de ce domaine restent difficiles à cerner. Parler de biologie de synthèse relève-t-il d’un simple changement de sémantique ou d’une réelle nouvelle frontière du domaine des biotechnologies ? Pour l’instant, des exemples d’organismes ou molécules obtenus par biologie de synthèse s’accumulent : protéines non naturelles, plantes OGM, bactéries OGM, virus recréés, modification du vivant directement dans l’environnement, insectes OGM, xénobactéries…

Numérisation
Négociations en cours sur la numérisation du vivant
Le statut de certaines données contenues dans des organismes vivants continue de faire l’objet de négociations internationales. Ce sujet est d’une importance majeure car une part importante de la biodiversité est librement accessible hors de tout cadre réglementaire, quand elle est sous forme d’ « information de séquences numérisées » selon l’expression en cours dans des instances internationales. Les multinationales en profitent pour revendiquer des brevets sur des composantes du vivant liées à ces informations. Les États signataires de la Convention sur la Diversité Biologique débattent sur la mise en place d’un cadre mondial pour un partage « juste et équitable » des avantages découlant de l’utilisation de ces informations. Des discussions informelles sont prévues le 19 mai au Kenya.

Brevets
En Inde, PepsiCo prend un coup sur la patate

Numérisation

