GRANDE-BRETAGNE – Persistance de l’ADN dans le sol
Le Professeur A. Cooper de l’Université d’Oxford explique que ses études ont montré que l’ADN pouvait perdurer des milliers d’années dans le sol. « L’implication est d’importance puisqu’elle montre qu’une bien plus grande connaissance est nécessaire avant de pouvoir juger des effets secondaires de la dissémination de plantes transgéniques ». La persistance de l’ADN augmente la probabilité d’occurrence du phénomène de transfert horizontal de cet ADN vers des bactéries du sol.